Une petite salée

C'est la première fois que je poste une blague sur mon blog, celle-là en valait la peine.

Mon copain Réjean faisait paisiblement la file à la caisse de chez IGA
hier; il remarqua qu'une très jolie petite blonde lui faisait signe de la
main en lui souriant. Il s'adressa à elle et lui dit gentiment :

- Excusez moi, on se connaît ?

- Elle répondit en souriant : "Je peux me tromper, mais je pense que vous
êtes le père d'un de mes enfants ..."

- Les souvenirs de Réjean le renvoient vers la seule et unique fois où il a
été infidèle, et il s'exclama : " Tabarnac, tu ne serais pas la cochonne que
j'ai sautée sur la table devant tous mes potes lors d'un party de noel ,
pendant que ta copine me fouettait avec un céleri mouillé et me poussait un
concombre dans le trou de cul?"

- Euh non ..., répond-elle, je suis la nouvelle institutrice de votre
fils...."

Le gros vilain

Il s'installe insidieusement au bureau. A tous les matins, il ne manque pas de nous faire sentir sa présence. On ne sait pas réellement s'il quitte le soir lorsque les collegues s'en vont. On ne sait pas s'il reste là dans le noir, à attendre le lendemain, plus fort, plus méchant. J'ai été épargné, du moins pour le moment. Je le fuis, je tourne les talons et pars au galop lorsque je le vois se pointer. S'il fallait qu'on fasse connaissance... oh mon Dieu, NON !!!! Il gagne du terrain de jour en jour, c'est la panique à bord...

Le vilain virus de la grippe a déja atteint plusieurs de mes collegues. A quand mon tour ?!

Trilogie d'une démission

La troisième étape de mon changement de carrière a eu lieu ce matin : annoncer mon départ à mes patrons.

Finalement, beaucoup plus de nervosité que de réel mal. Ma patronne directe, celle que j'ai d'abord rencontrée, était visiblement déçue de mon choix, bien qu'elle le respectait. Elle m'a dit qu'elle ne m'en tiendrait jamais rigueur, et que s'ils pouvaient faire quelque chose pour me retenir, de leur faire savoir. Je serai toujours le bienvenue si l'envie de revenir me prend. Ca m'a touché. La responsable des ressources humaines, qui se trouve à être par le fait même la fille du big boss, m'a aussi fait part de sa déception, mais qu'elle se doutait bien que je quittais pour quelque chose de bien. Deux personnes qui le prennent bien, il ne m'en fallait pas moins pour que je reprenne mon calme...

Trois semaines de préavis, et me voilà dans le nouveau bateau... ça viendra vite.

Getting ready to jump

Ca y'est, je suis allé signer ce matin. Pas de réelles surprises au niveau des conditions, si ce n'est du 35 heures semaine. On est loin du 40 heures auquel j'étais habitué quand je travaillais "en région" !
J'ai relu les clauses de mon contrat, tout me semble correct. Une probation de 6 mois, c'est relativement long, mais je touche quand même tous les avantages sociaux dès mon embauche. Beaucoup de travail en perspective dans les prochains mois pour prouver ma valeur !

En attendant, me reste plus qu'à annoncer le tout à ma patronne, et trouver une facon de me calmer les nerfs d'ici là. Je ne sais pas si c'est relié, mais j'ai véritablement mal au ventre et un peu partout depuis ce weekend...

Traitrise

Depuis quelques temps, je me sens bizarre lorsque j'entre au bureau. J'ai l'impression d'être un traitre, celui qui met les pieds à un endroit alors qu'il ne devrait pas y être. Être celui qu'on regarde du coin de l'oeil pour épier ses moindres gestes qui pourraient révéler un geste coupable. J'ai évoqué dans mes derniers billets un désir de quitter le bateau. J'ai pris les moyens pour y arriver. J'ai été récemment appelé à deux entrevues back a back, pour recevoir un appel de la conseillière en recrutement le lendemain, me faire offrir le poste, et me voir prendre la décision d'accepter. Depuis, toutes sortes de drôles d'émotions m'habitent. Bien que je ne fasse pas partie des meubles qu'on a oublié d'époussetter depuis un moment à mon présent boulot, je sens que j'y ai tout de même un rôle clé à certains égards. On ne passe généralement pas trois ans et demi dans un bureau pour pouvoir se faire vulgairement relayer aux oubliettes. Et me voilà en train de mentalement plier bagages, me préparer un discours qui saurait se faire accepter sans trop d'éclats, tout ca en me gavant de toutes sortes de cochonneries réconfortantes, question de ne pas flipper.

C'est terrible combien changer d'emploi semble un mur difficilement franchissable lorsqu'on apprend à la dernière minute l'appréciation que l'on nous voue...

Coup de balai amical

J'ai eu un débat d'opinion avec une amie cette semaine concernant nos relations amicales du passé. Personnellement, j'ai eu tendance dans les dernières années, et surtout depuis mon arrivée à Montréal, à faire le tri dans toutes ces personnes avec qui je gardais contact. Pour moi, la grande ville correspondait à un nouveau départ que j'avais rêvé depuis bien des longtemps. Un nombre considérable de connaissances ont été rayées de la carte, j'ai mis de côté d'anciens amis avec qui j'échangeais peu ou qui ne m'apportaient plus rien (ou plus rien de positif du moins). Ca semble sauvage à première vue, mais si j'ai procédé ainsi, c'est pour consacrer un maximum de temps aux amis qui me sont chers. Les gens viennent et s'en vont, c'est un fait. Je n'y échappe pas, personne n'y échappe. Pourquoi devrais-je passer pour un "sans coeur" si je décide de couper des ponts ?

Résolutions

Cette année, comme à toutes les années, j'aimerais tenir mes résolutions. Force est de constater que je démarre 2008 en contrevenant déjà à 4 de mes résolutions...

- J'aimerais réduire ma consommation de restaurant
- Ce qui par conséquent devrais pouvoir me permettre d'économiser un peu pour les prochaines dépenses à venir, entre autres un déménagement certain
- Me coucher plus tot les soirs de semaine. Je me couche tard, je dors peu, je me rends au boulot en retard. Il me semble que je suis pris dans un engrenage peu intéressant
- Bouger !

Bref... je trouve ca facile de prendre des résolutions, mais pénible de les tenir. Quelles sont les vôtres ? Y arrivez-vous ?

Nouvelle année

Au fait, bonne année ! Je vous souhaite à tous le meilleur. Comme on dit en anglais, "all the best!"
J'ai disparu quelques jours, le temps de profiter à fond de toutes ces gâteries des fêtes, la bouffe en trop grande quantité, l'alcool à vous faire hurler les papilles de déshydratation, les centaines de kilomètres séparant les différentes personnes qu'on veut voir. 850 km de route et 1 2 semaines plus tard, me revoici ! Au boulot, et sur le cyberespace. Pas trop ennuyé ?

Nouvelle année, nouveau départ. Mon retour au travail a débuté par un formatage complet de mon poste informatique. Zoup, tout est remis à 0. Oh, c'était loin d'être un caprice : un vilain virus et des dizaines de spywares s'étaient semble-t-il infiltrés dans ce dernier, et s'attaquaient entre autre à ma carte réseau. Trop de détails techniques... bref, ça allait mal !Zoup, oust les vilains trucs ! Plutôt léger comme début (et fin!) de semaine, puisqu'en 2 jours, j'aurai remonté l'ordinateur et documenté quelques projets. Excitant comme vous pouvez voir.

Nouvelle année, nouvelle peau. Enfin... on essaie ! J'ai deux ma-gni-fi-ques "amis" qui ont pris la sympathique initiative de s'installer en plein milieu de mon visage. Deux maudits gros boutons, m-e-r-d-e. J'ai donc pris rendez-vous chez un esthéticienne (ca fait fille vous trouvez ? Tant pis pour vous, hehe) qui m'a franchement plu. Il me fera plaisir de vous la référer. Une heure et demi plus tard et quelques dollars en moins, me voilà la peau propre, mais oh combien "outch". D'autant plus que "vilain ami #2" a décidé de laisser sa marque pour quelques jours encore. Grrr...

Nouvelle année, nouveau départ. Oui, je songe encore à plier bagages professionels... on m'a tiré aux cartes et ca semblait très positif... on verra bien !

Nouvelle année, nouveau blog ! D'ailleurs, merci pour les commentaires sur l'article précédent :) Ca été très flatteur. Peut-être à l'exception du commentaire douteux de Monsieur l'Adulte qui laisse à réfléchir... haha! Trop de détails mon cher, trop de détails ;)

Bonne nouvelle année !