mercredi 10 octobre 2007

It's a small world after all

La joie (sic) d'etre gay et d'habiter une metropole, c'est l'impression que le 10% de ses 2 millions d'habitants s'est pratiquement entierement deja rencontres. Combien de fois aie-je fait la connaissance d'un gars et que lors d'une discussion, le nom d'une connaissance a moi sorte. J'ai l'impression que la realite homosexuelle ne permet jamais de s'echapper de ses anciennes frequentations : on finit un jour ou l'autre par les recroiser de par une nouvelle connaissance, de part l'ami d'un ami qui a finalement couche avec la soeur d'un ex-copain a nous, ou encore le nouveau chum du coloc qu'on a deja rencontre via un reseau de rencontre tres connu (wink!). Le fait de tous partager la meme grande assiette semble en effet creer une promiscuite perceptible. Encore ce soir, lors d'un souper avec une amie, une ancienne frequentation serveur est venu me voir pour me dire que finalement, il se rappelait avoir deja rencontre mon chum il y a quelques annees. My god, on s'en sort jamais !

Est-ce que la realite heterosexuelle est sensiblement pareille ?

3 chuchottements:

Anonyme a dit…

J'en ai aucune idée pour la vie des hétérosexuels, mais zut de flute que tu as raison... ! Pas moyen de s'en sortir vivant...

Dure, dure la réalité de vie de gais ! :(

Jean-Philippe Murray a dit…

Je trouve que c'est pareille... Mais j'habite dans une encore plus petite ville! (Et le pire, c'est quand tu as eu aussi le « malheur » de joueur des deux côtés de la clôture dans une petite ville... Oulalala....)

Wonder Mekamek a dit…

@lee : ca fait du bien de voir que jsuis pas seul a penser comme ca ;)

@lapin blanc : outch ! Ca doit faire jaser le village tout entier ;)!!